vendredi 27 mars 2009

Acte 3...

3 nouvelles chansons pour l'acte 3.
La première, c'est la lettre que le personnage principal renvoie à son amour de jeunesse pour reprendre contact. La seconde, c'est la réponse, et la troisième, c'est la suite de leur correspondances!


Chanson 1:
Musique:


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Paroles:

J’écris sur cette page
Les traces de l’amour sage
D’un ami de passage



Du fond des âges
Ton image
Ton visage
Ont épargné à un homme le naufrage


Je prie pour que ces mots
Ces pauvres ronds dans l’eau
Sachent réveiller ta mémoire
Et te chantent cet espoir
Fervent de te revoir


Suis-je fou de croire que le destin mène à toi ?
Suis-je fou de croire que tu me suivras ?


Chanson 2:

Musique:


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Paroles:
Mes yeux parcourent votre page
Quel bonheur de revoir ces rivages
Ils m’ont rapporté
Tant d’émois oubliés
Tant de peines insensées
Le parfum d’un passé
Passionné

Combien de fois
Ai-je rêvé
A autrefois
Sans jamais oser
J’ai gardé notre amour au bout de mes doigts

Je vagabonde volage
Je m’égare le long de vos pages
Vous tenez ma main sur la plage
Le vent les marées
Peuvent se déchaîner
Mais nos deux destinées
Sont scellées

Quel est le prodige qui nous réunit ?
Ai-je enfin trouvé la clé du paradis ?
J’ai trouvé la clé de ma vie.


Chanson 3:

Musique:



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Paroles:

Garçon
Fille



J’avais un jour
Osé te parler d’amour
Quel beau songe de velours


Un jour divin
Tu as écrit mon destin
D’une ligne de ta main


D’une main inspirée
Courant sur le papier
Tu as changé le cours
De mon existence
De mon errance
Et je vis au fil de tes écrits


Passage instrumental…


Ma main qui court
Ecrit des lettres d’amour
Je ferme les yeux et les mots accourent


De ce papier
Que tu m’as adressé
Les mots se sont envolés


Mon âme sur ces mots ailés
A voyagé vers le passé
Vers ces étranges moments
Où nous nous aimions comme des enfants
Ces sentiments
Renaissants
Ravivent des tourments
Brûlants
Des souvenirs adolescents
Brillants
Des temps incandescents



Passage instrumental



J’avais un jour
Osé te parler d’amour
C’est mon acte de bravoure


Un jour divin
Une ligne de ta main
A
Croisé
Une ligne de ma main

Quel audacieux dessin
Que celui du destin


Cette ligne en commun


C’est notre chemin
C’est notre chemin

jeudi 26 mars 2009

Final acte 2

Final de l'acte 2... tous les personnages reviennent, et transition avec acte 3.


Musique:


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Paroles:
Personnage principal enfant :
Regarde-moi
N’oublie pas ce visage d’autrefois
Que cet enfant
Se reconnaisse en toi à présent
Quand tu chantes pour moi
J’entends ma voix
Et mon chant te rappellera le temps de l’enfance
Et la vie te protègera toujours du silence
Et l’amour un jour te prendra dans sa folle danse

Enfant et mère en même temps
Prends ton bagage
La vie t’offre un nouveau voyage
Laisse le vent
Te porter vers tes rêves d’enfant
Pour toi la nuit s’achève
L’aube se lève
Et mon chant le long du chemin guidera tes pas
Et ta vie un jour tu verras te ressemblera
Et l’amour de sa tendre main te caressera

Tout le chœur
Lève-toi
Laisse tes erreurs et tes faux pas
Un chemin s’ouvre devant toi
Ton passé guide tes pas
Vers l’avenir
Dans tes souvenirs
Cherche la clé de ton empire
Laisse derrière toi le temps des soupirs
Comme au printemps tout va refleurir
Cherche dans ton enfance
L’évidence
Le sens de ton existence
Reprends confiance
L’innocence
De ta jeune vie
T’éclaire aujourd’hui
Déjà
Tu entrevois
Un futur qui vient vers toi
Et déjà l’horizon
Te crie le nom
De cet être aimé
Qui t’a échappé

Mère grand
As-tu compris
Qu’il faut toujours sourire à la vie ?
Les jours de pluie
Quand on les chante ne sont pas si gris
Vois derrière les nuages
Mon doux visage
Et le temps te rapportera le son de ma voix
Quand la vie a perdu sa joie tu te souviendras
Et l’amour ne t’oubliera pas tu la reverras

Mère grand et mère supérieure
Les anges du ciel
Gardent les amoureux sous leurs ailes
Ils nous révèlent
Que l’amour est une fleur éternelle
Son merveilleux éclat
Rayonne en toi
Et le temps jamais ne saura ternir ce bonheur
Et la vie s’illuminera de mille couleurs
Et l’amour toujours brûlera au creux de ton cœur

mardi 24 mars 2009

Questions enfantines

Cette chanson là est dans l'acte 1 aussi... C'est une lettre écrite par les enfants d'une classe qui ont travaillé sur les chansons du personnage principal. Alors ils lui posent tout plein de questions. Mais il va se rendre compte qu'il a pas les réponses, ou que sa vie est pas du tout en accord avec les réponses qui s'imposent...


Musique:


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Si la musique marche pas: http://www.deezer.com/track/326005

Paroles :
(une partie de chaque couplet pour un enfant seul, le reste pour le chœur, mais j’ai pas encore décidé lequel)

Monsieur nous venons vous remercier
Pour ces chansons que vous nous donnez
Nous les avons étudiées
Et nous les avons adorées
Toutefois vos chansons
Ont soulevé quelques questions

Vous parlez souvent de votre enfance
Vous dites qu’elle a de l’importance
Pourriez-vous monsieur pour nous
Décrire ce qu’elle fut pour vous
Quels sont vos souvenirs
Du temps que vous semblez chérir ?

Vous parlez souvent de vos parents
Vous dites qu’ils sont des gens importants
Pourriez-vous nous expliquer monsieur
Dites nous si votre Maman
Vous punissait souvent

Vous parlez sans cesse de l’amour
Vous dites qu’il faut aimer toujours
Quels sont les signes monsieur
Qui montrent qu’on est amoureux
Comment sait-on vraiment
Si l’être aimé vaut un serment ?

Vous parlez souvent de liberté
Pour vous c’est une priorité
Pourriez-vous nous expliquer
Ce qu’il faut faire pour être libre
Pourriez-vous nous décrire
Ce beau sentiment d’exister ?

Pont musical, non chanté…

Vos chansons nous parlent du bonheur
Vous semblez en avoir plein le cœur
Voulez-vous nous dire monsieur
Ce qu’il faut faire pour être heureux
Est-ce qu’il faut simplement
Se convaincre qu’on est content ?

Vous ne parlez jamais de l’argent
Vous préférez parler du beau temps
Dites-nous à quoi ça sert
Si on est bien dans la misère
De perdre tout son temps
A récolter un peu d’argent ?

Vous aimez aussi parler du temps
Celui qui nous fait devenir grand
Vous semblez le trouver effrayant
Lorsque vous parlez du passé
Vous semblez apeuré

Vous parlez souvent de la beauté
Vous semblez toujours la rechercher
Suffit d’un beau visage
Ou bien d’un joli paysage
Pour gommer les soucis
Et faire que le monde sourit ?

Vous conseillez souvent de rêver
D’échapper à la réalité
Qu’avez-vous fait de vos rêvez
Se sont-ils déjà mis en grève
Pensez-vous qu’aujourd’hui
Vos rêvez d’enfant vous ont suivi ?

Greatest video ever!

Looking back

Alors là c'est la dernière chanson de l'acte 1. C'est une lettre écrite par le père, qui ne reconnait plus son fils, et lui conseille d'aller retrouver sa vérité dans son passé. Ca tombe bien, c'est le sujet de l'acte 2! Le hasard fait bien les choses quand même!


Musique:


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Paroles:
Le père
Le chœur

Dis-moi grand garçon,
Aurais-tu perdu la raison ?
Qu’est devenu cet enfant que j’ai connu ?
Je crois que je ne le connais plus.

Connais-tu ton nom ?
Te souviens-tu de ta maison ?
Dans l’immensité du temps tu t’es perdu
Ton cœur me semble suspendu.

Où es tu parti ?
Retrouve ta vie
Toi qui souriais à la vie
Le passé enfoui
Ce garçon qui m’avait appris à rêver
Caché
Semble soudain désenchanté
Dans les années

Cherche dans le temps
Cette vérité qui t’attend
Suis le chemin que le vent a effacé
La trace qui t’a égaré

Cherche dans les heures
Ce qui faisait battre ton cœur
Moi qui autrefois ne t’avais pas compris
Je veux te sauver de l’oubli

Va dans ton passé
Va au fond de ton passé
Retrouver l’enfant passionné
Va trouver la vérité
Qui ne vivait que d’amour et de beauté
Va rêver dans les années
Parviendras-tu à le sauver ?
Passées

Je relis souvent
Entends
Ces poésies d’un autre temps
Les chants
Ces années que tu avais su enchanter
Passées
Il est temps de les retrouver

lundi 23 mars 2009

Lointain Noël

Voici la première lettre de la grand mère... c'est le premier Naël que le petit file passe loin de sa grand mère... Donc elle lui raconte.

Musique:



Paroles:

Grand mère
Choeur des enfants

Mon tout petit,
Je viens te raconter une histoire
L’histoire d’un soir
Le récit d’une nuit
Dont la magie
A fait de ce Noël un moment
Comme tu les aimais avant.

La nuit a commencé
Lorsque l’arbre s’est allumé
Des couleurs par milliers
Ont échauffé nos cœurs
Et réveillé nos candeurs
L’arbre bleu et doré
Que les enfants avaient orné
Scintillait dans leurs yeux
Il se parait de joie
Il brillait de mille feux.

Déjà les odeurs
Parfums de bonheur
Biscuits et gâteaux
Tous dorés et tout chauds
Emplissaient le vent
D’un amour gourmand
Je te revois
Attendant près de moi
Les sucreries et es chocolats

Les femmes étaient coiffées,
Sauf bien sûr la tante Aglaé
Qui avait tout raté
Elle s’était à nouveau
Coiffée avec un râteau
Les hommes endimanchés
Tentaient de rester distingués
Ces enfants déguisés
Se gavaient de gâteaux
En attendant leurs cadeaux


Enfin ces moments que j’ai rêvés
Sont cette nuit réalité
Le sapin les gâteaux
Et les bougies
Et demain les cadeaux
Que j’ai choisis
Oh belle nuit !

Pour les enfants Noël est sacré
Car ils ont le monde à leurs pieds
Le monde est sucré
Le monde est plus doux
Le monde est enfin à ma portée !


Tard dans la nuit
Tes airs préférés ont résonné
Grands et petits
Ensemble ont valsé
Dans un grand bruit,
Le bouchon du champagne a sauté
Tante Aglaé a chanté

Au pied de l’arbre d’or
Les cadeaux comme des trésors
Attendaient le matin
Impatients les enfants déjà leurs tendaient les mains.
Pour calmer les veilleurs
Les chansons entonnées en chœur
Animaient le festin
Allégresse et bonheur
Coulaient comme le bon vin.

N’oublie pas les joies
De ton enfance
Un beau jour leur voix
Couvrira le silence
N’oublie pas le temps
De l’innocence
Un jour viendra
Où tu te souviendras
De l’enfant qui vit encore en toi

Lorsque la nuit pâlit
Il ne resta que la magie
Les images, les odeurs
De ces trop courts moments
Qui ressemblent au bonheur
Seule au creux de mon lit
Je pensais à toi mon petit
Ta Mamie, loin de toi
A souffert de passer
Son premier Noël sans toi.

vendredi 20 mars 2009

Un soir d'hiver

Voici une chanson qui ira étoffer l'acte 2 des Correspondanses... Alors je sais vous n'y comprenez pas grand chose, mais c'est normal, j'écris pas tout dans l'ordre et j'invente l'histoire au fur et à mesure!
Là c'est un peu une lettre d'adieu de sa grand mère qu'il retrouve. C'est un peu triste mais elle aura plein de conséquences joyeuses.
Et c'est sur une des plus belles musiques qui soit (il faut sauter l'intro, le chant commence après):


Musique:


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Mère grand
Chœur (en même temps que mère grand, enfin la musique est évidente)

Mon doux Ami,
Tu as grandi,
Tu dois maintenant savoir
Qu’approche le soir
Que chaque vie
Comme le jour qui luit
S’éteint c’est son devoir
De dire au revoir
Quand il finit,
Dans la nuit
Le jour qui rougit
D’une vie
Donne toujours à voir
Il ne fait
Un autre espoir
Jamais noir

L’hiver glacé
L’hiver
Est arrivé
A soufflé
Et son cortège blanc
De son grand
S’avance maintenant
Vent d’argent
L’aube nacrée
Mélopée
Ne peut réchauffer
Enchantée
Tous les assauts du temps
La voix des en-
L’aube qui nous ment
-fants hors du temps
Les jours dorés
Les jours dorés
Les soleils d’été
Les soleils d’été
Sont des images d’antan,
A présent
Des traces d’avant
Dans le vent

Le temps s’en va
Vers l’au-delà
Le passé qui s’enfuit
Le futur le suit
Glisse sur moi
Mais je n’ai pas froid
A l’hiver de ma vie
Les heures me sourient
Rappelle-toi
Même loin de toi
J’ai eu des heures amies
Des joies inouïes

Toi au printemps
Comment
Toi si vivant
Face au vent
Ton aube s’est levée
Résister
Apprends à marcher
Et marcher
Et sois prudent,
Tu apprends
Vis dans le présent
A présent
Et fais toujours briller
La vérité
Tes yeux adorés.
Qu’on m’a confiée
Le seul diamant
Le seul diamant
Qui résiste au temps
Qui résiste au temps
Est l’amour mérité
C’est mériter
De l’être aimé
D’être aimé

L’hiver glacé
L’hiver
Est arrivé
Est tombé
Et son grand manteau blanc
De son grand
Me tient maintenant
Manteau blanc
L’aube espérée
Son drapé
Commence à perler
Déposé
La lumière du temps
Protège les en-
M’éclaire à présent
-fants du vent
Les jours dorés
Les jours dorés
Les soleils d’été
Les soleils d’été
Ces images d’antan
Hors du temps
Sont mes diamants
A présent

jeudi 19 mars 2009

Déclaration (de revenus)

Allez hop, une autre chanson de pouf, à croire que c'est dans mes gènes...


Alors là c'est après le premier spectacle du looser, la pouf croit qu'il est pas un looser et qu'il va avoir des tunes en abondances. Donc elle le séduit.
Le looser il y voit que du feu, mais quand il relira la lettre plus tard, il comprendra qu'une pouf, ça trompe énormément.


Musique:


Découvrez M.I.A.!


Vous !
Vos poésies nacrées m’ont faite penser
Sous vos rimes, mon corps entier a tremblé
Vous débordez de talents mon cher,
Le succès à présent vous est promis
Et les femmes et l’argent
Vous sont maintenant acquis

Nous !
Pourrions ensemble vivre une vie rangée
Partager tous les deux la prospérité
Car le trésor qui ce soir est né
Garantit des années sans misère,
L’amour et la richesse
Chasseront les soucis

Une vie de joie, une vie de douceur,
Des jours sucrés chez Ladurée
Une vie de strass, une vie sans stress,
Par amour, je me ferai belle,
Chez Vuitton, chez Chanel
Car vous le valez bien !

Finies les soldes, finie la grisaille,
Plus jamais fauchée, jamais sur la paille
Vous avez pour moi l’éclat d’un diamant,
Si petit, pourtant si brillant
Si petit, pour l’instant,
Car moi je vois plus grand !

Avant vous,
J’étais une fille perdue,
Grâce à vous,
J’aurai tout ce que j’ai toujours voulu
Autrefois,
Ces mains ont porté des ordures
A mes doigts
Brillera désormais votre amour pur

Car mon trésor, tous les deux c’est pour la vie
Le contrat qui viendra permettra tu verras de sceller tout ton talent
Ma mine d’or, jamais ne sera tarie
Je pourrai alléger cet immense tracas, le poids si pesant de l’argent

Vous !
Avez trouvé en moi parfaite associée
Je suis l’incarnation de l’intégrité
Je n’ai pas mon pareil pour gérer
Un château, un hôtel particulier
Et tout ça mon ami
Je le ferai par amour

Vous !
Avez trouvé en moi parfaite associée
Je suis l’incarnation de l’intégrité
Je n’ai pas mon pareil pour gérer
Un château, un hôtel particulier
Et tout ça mon ami
Je le ferai par amour

Finies les soldes, finie la grisaille,
Plus jamais fauchée, jamais sur la paille
Vous avez pour moi l’éclat d’un diamant,
Si petit, pourtant si brillant
Si petit, pour l’instant,
Car moi je vois plus grand !

mardi 17 mars 2009

Wake up Tango

Voici ce qui devrait être l'ouverture des "correspondanses".
Le personnage principal se fait larguer par une pouf.
Voilà la musique:


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Le Tango, c’est un peu comme le baroque, à chaque couplet on ajoute des notes et ça ressemble plus à rien… Donc pour tous les couplets imaginez l’air et l’orchestration du premier…
Attention cette fois ci, trois voix. Je me suis lâché !

La reine des poufs
Le chœur des poufs
Le looser

Couplet 1 :
Mon ptit mari,
Ca va pas faire du bien Ca c’est dit
Mais l’amour a une fin T’as compris
J’attendrai pas demain C’est la vie
Tu sais ça changerait rien Tu m’oublies
Tu sais c’est pour ton bien C’est gentil
Ca n’allait pas bien loin Plus envie
Tu iras mieux demain Tant pis

Transition :
T’es pas con, tu vas comprendre
Qu’une fille comme moi n’aime pas attendre
Tu m’avais promis tant de belles choses
Où sont mes roses ?
A quoi bon toujours attendre
Mon cœur est à nouveau à vendre
Les fleurs et les bijoux
Les robes et le toutou
Il est temps qu’ils soient plus que des mots !

Couplet 2 (poufs et looser superposés):
Mon ptit mari
Quelle
Parfois tu me fais rire Pas qu’un peu
Ma----------------------gie
Tu crois qu’on peut séduire T’es niaiseux !
M’a---------------------vait
Juste avec un sourire Des beaux yeux
Ca-----------------------ché
Mais pour me retenir Si tu veux
Le-------Vi------------sage
Il faudrait t’enrichir Pas qu’un peu
De celle que j’avais aimée
Si tu n’as pas d’empire Mon pti vieux
La voici démasquée
Moi je préfère partir Adieu
A moi la liberté

Transition 3 (pouf et looser l’un après l’autre) :
Tes poèmes et tes chansons
Ces chansons portaient ton nom
Vont pas payer mes visons
Ils ont payé la maison

Transition 4 :
Dans quel mensonge ai-je vécu ?
Tout cet amour est corrompu
Tout cet argent que j’ai perdu
M’aura rendu la vue.

Couplet 3 :
Mon pauvre ami,
Tu trouveras bien une fille Tu verras
Qui aime les guenilles Et les rats
Je n’serai plus chenille Pas pour toi
Mais papillon qui brille Falbala
Moi je veux qu’on m’habille Pas Zara
Je veux que ça scintille Comme Carla
Après on s’déshabille Ou pas

Transition 5 (pouf et looser l’un après l’autre) :
Tes poèmes et tes chansons
Ces chansons portaient ton nom
Vont pas payer l’addition
Ils sont mes seuls compagnons

Transition 6 :
Dans quel mensonge ai-je vécu ?
Tout cet amour est corrompu
Tout cet argent que j’ai perdu
M’aura rendu la vue.

Couplet 4 (Poufs et looser superposés)
Mon P’tit mari
Quelle
Retourne à tes poèmes Tout est dit
Ma----------------------gie
Je sors de ton Harem De ton lit
M’a---------------------vait
Je reprends mes je t’aime C’est le prix
Ca-----------------------ché
Je garde le diadème Les rubis !
Le-------Vi------------sage
Notre plus bel emblème T’es surpris ?
De celle que j’avais aimée
J’l’aurais rendu quand même C’est promis
La voici démasquée
Mais là j’ai trop la flemme Tant pis !
A moi la liberté

lundi 9 mars 2009

Petits signes (de croix)

Je continue dans ce qui constitue les bases du projet qu'on nommera pour l'instant "correspondanses". Le principe c'est qu'il s'agit de lettres, et qu'il y a de la danse...
Clever!

Ici vous trouverez la lettre écrite pas la malheureuse Mère Supérieure à la mère non moins supérieure du petit morveux qui l'a mordue quelques chansons auparavant.

la musique c'est ça:


Découvrez M.I.A.!


Imaginez la chorégraphie avec 4 nones choristes.

Et les paroles (les trucs entre parenthèse c'est pour les nones choristes):

Votre petit garçon, madame
A hier écopé d’un blâme
Cent fois mérité (il ne l’a pas volé)
Cent fois mérité (il ne l’a pas volé)
Car ce petit garçon, madame
Nous donne tant de souci, madame
J’en suis bien navrée (vous devriez prier)
J’en suis bien navrée (vous devriez prier)

Votre petit garçon m’a encore mordu les mollets
Je crois bien pourtant qu’on lui a donné chaque jour à manger en bonne quantité.
Ainsi vous comprendrez la gravité de son état,
Car s’il n’était alors pas affamé c’est qu’il m’a mordillé sans qu’on l’y ait forcé.
Un garçon ne mord pas un vieux mollet de son plein gré,
C’est pourquoi je crois que votre garçon ne voit guère plus loin que le bout de son nez.
Car pour confondre mes mollets fripés et bien velus
Avec les jambes de la jolie Daphnée il faut que votre fils ait bien perdu la vue.

Ainsi nous espérons, madame
Que ce petit blâme, Madame
Lui rendra la vue (qu’il ne nous morde plus)
Lui rendra la vue (qu’il ne nous morde plus)
Car il risquerait bien, Madame
Un jour de choisir une femme
Fripée et velue (nous implorons Jésus)
Fripée et velue (nous implorons Jésus)

Alléluia, Alléluia etc.

samedi 7 mars 2009

My sunny Valentine....

Que serais-je sans toi...





Hé oui pour ceux qui ne le savent pas encore je n'ai plus de mèche. Mais rassurez vous je fais toujours le lancé de tête pour la remettre en place. Il ne faut pas perdre la musculature si un jour la mèche repousse.



Çà c'est quand j'ai trop balancé la tête pour mettre la mèche en place... La tête me tourne. C'est pour ça que les pouf boivent peu d'alcool. Pas besoin.



Là ça va mieux, j'ai mis de l'ordre à mes cheveux, un peu de noir sur mes yeux...



Et mon merveilleux Viking, indécemment superbe pour quelqu'un qui revient de 3 mois de convalescence...



Face à la mer, attendant impatiemment son taxi-drakkar. Le lendemain nous avons conquis le Cap Vert. Ben oui faut commencer par des petits pays!



Le drakkar sus-nommé lors de son passage au contrôle technique. J'en ai profité pour faire un check up à la clio.



Prenez et mangez en tous, ceci est mon oeuvre. Non je plaisante, vous n'en aurez pas, ce n'était que pour Viking et moi. Mais c'est bien mon oeuvre. Un authentique brownie de la sensationnelle Nigella Lawson qu'on aime tant, et un gâteau Waldorf. Pour les incultes c'est le gâteau qu'on a servi au dessert sur le Titanic. Comme la recette est introuvable je suis allé chercher le mien directement au fond de l'océan. D'où la couche de vase dessus!



Et ça et tout ce qu'il y a après c'est comment mon Viking m'a couvert de cadeaux et d'amour pour le Valentine's Day! J'en ai mis plein c'est pour vous rendre jaloux.





Et ça c'est pour lui, évidemment.



vendredi 6 mars 2009

La main de l'oubli

Histoire de garder le rythme...
Merci à Michal pour l'idée originale, même si je m'en suis largement écarté, merci à mon pote Ludwig, qui a composé spécialement pour moi la petite rengaine que vous trouverez ci-dessous... Et merci d'avance à Alain qui va perdre le sommeil pour essayer de mettre ça en place!

Alors je vous explique comment ça marche. Il y a deux voix. Donc c'est pas facile à lire. Il y a les hommes, et les femmes.

La première strophe, c'est facile, il n'y a que les hommes.
La deuxième, les hommes reprennent le même air, les femmes prennent l'autre chant, qui s'ajoute dans la musique, sisi vous verrez.
La troisième strophe, les femmes prennent le même chant que les hommes au début, les hommes prennent l'accompagnement: ta da da poum ti da da poum ta di da poum etc. Vous n'avez qu'à écouter!
Et la quatrième est comme la seconde!
Je ne saurais trop vous conseiller de lire d'abord les hommes, puis les femmes...

Allez on y va. Donc Ludwig (je me suis arrêté à 3 min 50, ce Ludwig est intarissable):


Découvrez M.I.A.!


Hommes
Femmes
1-
Au cœur de la nuit, si loin de la vie,
Un chant tourmenté m’a caressé.
Sur mon corps brûlant, perlait le passé,
Alors j’ai senti la main de l’oubli.

Elle se promenait entre mes années,
Elle me demandait notre portrait.


2-
Ton chant amoureux glissait sur mes joues,
Le feu qui brûlait jadis entre nous

Et comme un adieu tu parlais de nous.
S’éteint dans un adieu et ne réchauffe plus mes joues

La main de l’oubli prenait la tienne,
Mon cœur lassé d’attendre que tu reviennes

Et moi j’attendais que tu reviennes.
Espère que tu entendras sa peine
Tu n’entends pas chanter


Ta voix se perdait au-delà des jours
Ma voix, elle n’en peut plus de parler d’amour

Et je regardais faner notre amour
J’écris des symphonies pour un sourd


3-
Reviens-moi, retiens moi, souviens toi, soutiens moi.
Crois-moi, je n’oublie rien de nos émois

Nos remords, nos trésors, ne seront plus sans toi.
Quand les rêves sont morts, j’ai du apprendre à vivre sans toi

Tu m’as pris, je t’ai fuie, je supplie, tu oublies,
J’ai appris l’oubli, j’ai feint le mépris

Mon secret est perdu au hasard de nos vies.
Alors j’ai perdu mon alibi


Loin de nous, loin du temps, nos passions, nos tourments
Donne-moi le temps, fais en le serment

Liens de mots, liens de sang, se dénouent lentement.
Mon cœur en dansant revit doucement



4-
Au cœur de la nuit, si loin de ma vie,
Le feu qui jadis consumait nos vies

Ton ombre danse dans ma mémoire.
A dormi trop longtemps, il me semble si froid ce soir

Je vois s’envoler de ton corps meurtri
Et les heures qui ont coulé sur mon corps meurtri

La trace en sursis d’un secret noir.
Ont engourdi mon amour dans le noir
Tu n’as pas entendu

Ma main qui portait ton cœur attendri
Ma voix elle n’en peut plus de chanter la vie

N’a jamais saisi la main de l’oubli.
J’écris des symphonies pour l’oubli.

mercredi 4 mars 2009

Adante Maternel

Et la réponse du berger à la bergère...
Je vous préviens la fin est un peu bancale, mais c'est la faute de ces compositeurs/interprètes baroques qui foutent des notes partout...

Musique:


Découvrez M.I.A.!


Et paroles:

Mon petit, oublie tes ennuis,
Le ciel est bleu loin derrière
Les nuages gris le soleil doré te renvoie mon sourire

Loin de mes bras aimants,
De mon regard endors-toi mon enfant,
En rêvant que viendront demain
De belles couleurs et des odeurs de bonne humeur
Celles que nous peignions ensemble
Avant.

Dors, quand les autres enfants
Sont étrangers aux joies du pays
Que tu as dessiné toute la nuit
Mais souviens-toi mon fils, en te réveillant
Petits ou grands, même avec le temps,
Aucun enfant ne devient grand en combattant.

Toi, qui me sembles si perdu,
Garde l’espoir, attends le soir et tu verras tes rêves s’allumer.
Comme des étoiles ils viendront éclairer la nuit noire et glacée et demain
Le monde aura changé un peu tu verras, je serai moins loin.

Mon petit, te souviens-tu des mercredis ?
De tous ces longs après-midis où nous jouions,
Où nous inventions des histoires d’arc-en-ciel et de vieux grimoires.
Puis nous allions marcher jusqu’au zoo
Pour inventer des fleurs et des animaux.

Ils vivent toujours,
Dans cette chambre où tu dormais autrefois,
Où tes peluches et tes jouets t’attendent comme moi,
Ils attendent les vacances
Pour te retrouver

mardi 3 mars 2009

Moment musical et espiègle

Hop, non inhibé par les messages d'insultes qui se sont abattus sur ma première tentative, je récidive!

Musique:



Découvrez Arthur Rubinstein!



Et les paroles:

Savez-vous ma tendre Maman,
Ce qu’ont dit les autres enfants ?
Ils m’ont accusé d’avoir noyé
Le chat du curé dans un étang.

Ecoutez aussi les horreurs
Dont sont convaincues les bonnes sœurs !
Elles sont persuadées que j’ai glissé
Un serpent dans le dos du facteur

Maman, ce sont des menteuses
Mais les apparences sont trompeuses
N’ai-je pas bien fait de leur démontrer
Que notre famille a une fierté ?
Enfants, curés et facteurs
Ont déjà tant fait couler mes pleurs !
Mon Dieu, mon Dieu, soyez indulgent,
Rendez-moi aux bras de ma Maman.

C’est vrai, j’ai poussé le chat dans l’étang,
Oui, le facteur a peur des serpents,
Mais je l’ai vu jeter la lettre que je lui ai confiée…
C’est vrai, je fais souvent peur aux bonnes sœurs,
Oui, j’ai mordu la mère supérieure,
Mais, je l’ai vue chiper mon goûter dans mon petit panier

Demain j’irai voir le curé,
Pour lui dire qu’un chat peut nager.
Et j’irai rassurer le facteur,
Ici les serpents n’ont pas de dents.

Mais si cette lettre est perdue,
Le facteur aura mal au… pied
Et si mon goûté est mangé
Le curé, les bonnes sœurs, la mère supérieure, auront les mollets mordillés

N’êtes-vous pas heureuse Maman,
D’avoir un enfant si vivant ? (x2)

lundi 2 mars 2009

Amour ailé

Un défi que je m'étais lancé il y a un moment déjà... Ma première chanson!

La musique c'est ça:



Et le texte:

Un matin à l’aube nacrée

Une fille m’a donné ses ailes

Prisonnière des alizées

Elle pleurait sa liberté alors,


Pour toi, je me suis envolé

Loin de toi, le vent m’a exilé,

Et sans joie, j’imaginais ton regard me porter

Vers le mystère

Car sans toi, les ailes en colère

Refusaient, de me rendre à la terre

Et le vent, jaloux du cadeau de ta liberté

Nous séparait, et m’enlevait, aux joies de ton sourire


L’atmosphère est un froid désert

Quand la brise joue les geôlières

Mon errance a perdu son sens

Quand les ailes blessées ont renoncé


Alors ma chute a commencé,

Dans tes bras je me suis abîmé

Et les ailes laissaient dans l’air en combattant le vent

Un duvet blanc


Je revois ces flocons d’argent

Fondre sous nos baisers ardents

Et au loin j’entendais le vent

Qui pleurait l’amour ailé que j’ai volé…


Évidemment c'est pour toi!